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MONUMENTAL // 2011 // Orgue de la cathédrale d'Evreux


AMC // n°221 // Ecole de musique de Louviers

IRANCY // Eglise Saint-Germain

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Restauration des couvertures de la nef, du choeur et des bas-côtés de l'église.

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Maître d'ouvrage : Ville d'Irancy
Lieu : 1 rue de l'église // 89290 Irancy
Montant des travaux : 526 000 € HT
Date de réalisation : 2015
Mission confiée : Mission complète
Rôle du candidat : Mandataire

MONACO // Orgue

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Localisation : texte
Destination : texte
Montant des travaux : texte
Date de réalisation : texte
Rôle du candidat : texte
Mission confiée : texte
Equipe : texte

PARIS // Orgue de l'auditorium de la maison de la radio

ST-GERMAIN-LA-BLANCHE-HERBE // Abbaye d'Ardenne // Salle d'exposition

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Troisième phase pour l’abbaye d’Ardenne, réhabilitation de la porte de Bayeux et des étables.

La tranche de travaux récemment livrée est destinée plus particulièrement à l’accueil du public et comprend la restauration de la porte de Bayeux, porte charretière du XIIème siècle et entrée occidentale de l’abbaye, et sa transformation en accueil et la réhabilitation du bâtiment dit « des anciennes écuries » pour y loger une salle d’exposition.

L’espace intérieur de la porte de Bayeux est un passage à l’air libre détourné en lieu d’accueil clos.
Malgré ce changement de statut cette construction médiévale demeure intacte dans son nouvel état. Les ouvertures ont été fermées par des vitrages cernés par des «cadres-tunnels » en acier rouille. Le mobilier, banque d’accueil et bancs, a été dessiné par les architectes.

Quant à la salle d’exposition c’est un écrin précieux habillé de bois clair, du multiplis de bouleau lasuré, mais aussi un outil polyvalent dont les panneaux renferment tous les accessoires nécessaires à la présentation des œuvres. Connexions multiples courant fort courant/courant faible, barres escamotables supports de cimaises et projecteurs et anneaux de levage pour accroche des lourdes charges.

A l’extérieur les baies ont été fermées par des vitrages VEC au nu de la façade font apparaitre les ouvertures comme des vitrines évoquant la destination du lieu et réfléchissant les abords en formant des tableaux sur la façade.


Maître d'ouvrage : Conseil Régional de Normandie // Abbaye aux Dames, Place Reine Mathilde, 14052 CAEN.
Localisation : Abbaye d'Ardenne // 14280 Saint-Germain-La-Blanche-Herbe
Destination : Accueil et salle d'exposition
Montant des travaux : 2 100 000 € HT
Surface : - 800 m² SHON
Date de livraison : octobre 2016.
Mission confiée : Mission de base
Rôle du candidat : Mandataire commun
Equipe : Bruno Decaris - Agnès Pontremoli : Architectes // Batiserf : BET Structures // L. Choulet : BET Fluides // Forgue : Economistes // Crédit photographique : Luc Boegly

LE MONITEUR // n°5909 // Travaux herculéens aux écuries de l'abbaye d'Ardenne

SEQUENCE BOIS // n°116 // Salle d'exposition // Saint-Germain-la-Blanche-Herbe


COLOMBES // Restauration et réhabilitation de l’ancien clocher St-Pierre-St-Paul.

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Restauration et réhabilitation de l’ancien clocher Saint-Pierre-Saint-Paul.

Au centre-ville de Colombes, sur un important carrefour, se dresse la ruine d’une partie du transept de l’ancienne église Saint-Pierre Saint Paul surmontée de son clocher avec sa haute flèche de pierre.

L’état de ruine fait alors passer l’architecture du statut de bâtisse, d’abri pour l’humain, à celui de paysage.
Considérant dès lors cet ensemble architectural, non pas comme un bâtiment, un réceptacle, mais comme une entité urbaine, un repère dans la ville.

Le projet de réhabilitation s'articule en trois points : le socle, la ruine et le phylactère.
Ainsi le « plateau » du piédestal est formé d’un miroir d’eau qui reflète les éléments de l’architecture et la scénographie des évènements qui y sont exposés. L’architecture est démultipliée, elle se réfléchit sur la surface de l’eau sous des angles variés selon la position de celui qui l’observe.Le phylactère de Saint-Pierre Saint Paul sait tout faire. Il sert d’affichage, pour images et textes qui se déroulent en une narration continue. Il se dilate pour se transformer en vitrines pour objets en trois dimensions ou écrans lumineux.
Le phylactère supporte bas-reliefs ou sculptures accrochés sur sa structure. Son expression est l’objet d’une scénographie nouvelle à chaque saison pour donner lieu à de nouveaux évènements culturels.




Maître d'ouvrage : Ville de Colombes
Localisation : Colombes
Destination : - Espace d'exposition
Surface : 87 m² shon
Montant des travaux : 1 500 000 € HT
Mission : En cours de chantier
Equipe : Opus 5 architectes // Batiserf : BET Structure // - : BET Fluides // Icegem -: économiste // Taillandier -: scénographe

ANNEOT // Eglise Saint-Gengoult

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Restauration des couvertures, façades, intérieurs et abords de l’église Saint-Gengoult d’Annéot.

De 2005 à 2017, la petite église romane Saint-Gengoult d’Annéot a bénéficié du plus grand soin
de la part de la municipalité qui a engagé de grandes campagnes de restauration afin de faire revivre ce monument classé.
A la suite d’une étude préalable générale réalisée en 2005, ont été réalisés tour à tour le drainage complet de l’édifice, la restauration des façades et des couvertures de la nef, puis celles du chevet. A ce titre, le remplacement de la couverture du chevet en lave, a fait appel à des savoirs faires particuliers qu’il s’agissait de mettre en valeur dans cette opération.
Enfin, dans la dernière tranche de travaux, a été réalisé la restauration des intérieurs et des abords, qui a permis de redonner toute sa clarté à l’édifice et d’y ajouter les installations techniques, d’éclairage et de chauffage nécessaire au bon usage du monument. En parallèle et dans un projet de mise en valeur des objets mobiliers, un autel, des présentoirs, des vitrines et des encadrements de tableaux ont été dessiné pour donner à voir la beauté des œuvres que renfermait ce petit édifice.






Maître d'ouvrage : Mairie d'Annéot
Localisation : Rue de l'Eglise // 89200 ANNEOT
Destination : Restauration des intérieurs et des abords
Surface : 160 m² shon
Montant des travaux : 6 090 000 € HT
Mission : Etude et travaux sur un Monument historique
Equipe : Opus 5 architectes

AMIENS // Salle des Musiques Actuelles.

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Salle des Musiques Actuelles

La salle des musiques actuelles d’Amiens prend place dans le quartier historique de Saint-Leu, fait de canaux, voies étroites, parcellaire allongé et bâti traditionnel.
Ce projet de SMAC va agir fortement sur le visage et la vie du quartier. La parcelle qui doit accueillir l’équipement est situé, face à la ruine de l’Hôtel Dieu, et l’entrée de l’université au sein de constructions vernaculaires.
L « ’intégration » est une notion évoquée en priorité dans un tel contexte. La construction par son volume prend harmonieusement sa place dans le vide de la parcelle et agit comme un pivot urbain.
Les deux directions de la composition sont celles des constructions des deux rues qui la bordent ce qui permet d’insérer sans heurt le bâtiment dans l’îlot. L’étagement des masses se fait progressivement à partir du niveau du bâti rue Saint-Leu jusqu’à la hauteur de la construction universitaire.
Intégration ne signifie ni mimétisme ni camouflage et l’édifice public est lieu d’exception qui permet aux citadins d’échapper au quotidien dans un espace hors du commun. En tant que pôle urbain, lieu de rassemblement et de spectacle il a une identité forte et agit comme un signal. L’image de la SMAC est emblématique et éloquente. C’est un logo que le public s’approprie et mémorise. C’est un évènement urbain à l’image de son contenu.
Le parti architectural découle de la volonté de préserver un passage libre pour les piétons à travers la parcelle. Pour ce faire la salle de concert et son foyer ont été placés à l’étage . De cette disposition particulière découle une volumétrie originale , l’identité et la qualité du projet.


Maître d'ouvrage : Amiens Métropole
Localisation : Rue Saint-Leu // 80000 AMIENS
Destination : Salle des Musiques Actuelles
Surface : 990 m² SDP
Montant des travaux : 2 000 000 € HT
Mission : Concours
Equipe : Opus 5 Architectes-Batiserf-Icegem-Luc Perrier-Impédance

MEYZIEU // Conservatoire de musique

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Conservatoire de musique et d'art dramatique

Le nouveau conservatoire de Meyzieu en face de la gare du tramway sera vu par des milliers de voyageurs chaque jour. Il est amené à devenir tout naturellement un signal urbain représentatif de la ville, de sa politique culturelle et de la qualité de son cadre bâti.

Le conservatoire s’affiche comme la porte nord de Meyzieu, un emblème et un évènement urbain ouvert vers l’espace public. Le bâtiment s’infléchit et le parvis se prolonge en occupant la concavité de la construction en un réceptacle qui appelle et accueille le passant.
Ses faces réfléchissantes sur le parvis renvoient les images des abords. L’édifice décuple autant qu’il prolonge l’espace urbain. Il intrigue et interpelle.

L’édifice est introverti mais dévoile à travers ses failles de lumière la richesse de sa vie intérieure.
C’est un lieu de lumière. L’accueil, large faille lumineuse dans la façade sur le parvis crée un appel. Cet espace vitré sur trois de ses faces se prolonge par un patio au sud et longe à l’est le jardin, le cœur du projet, le lieu géométrique de toutes les activités qui se distribuent tout autour.


Maître d'ouvrage : Mairie de Meyzieu
Localisation : Rue de la gare // 69330 MEYZIEU
Destination : Création d'un conservatoire de musique et d'art dramatique
Surface : 2000 m² shon
Montant des travaux : 6 090 000 € HT
Mission : Concours
Equipe : Opus 5 architectes

SAINT-QUENTIN // Salle polyvalente

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Une maison de services à la population dans l'ancien cinéma "Le Casino"

La ville de Saint-Quentin détruite à 70 % pendant la première guerre mondiale a été une véritable pépinière de l’Art-Déco alliant les arts décoratifs et l’architecture.
Le « Casino » de Saint Quentin, cinéma des années 1920 à l’abandon est un ensemble Art-Déco exceptionnel, représentatif de la modernité de son époque, par sa fonction et par son style. Un cinéma aux premières heures de cet art est un miracle et les salles des temples du merveilleux.
Cet ensemble doit être réutilisé en « Maison des Services à la Population ». Il s’est agi pour nous de conserver l’intégrité architecturale et décorative de ce bâtiment dans le nouveau programme.

Par chance les deux entités qu’il s’agit de concilier, un ancien cinéma des années 1920 et le programme dit « Maison des Services à la Population » sont de même nature et même aisément conciliables. Quel meilleur cadre pour l’accueil du public que ce bâtiment à la fois insolite séduisant et généreux, capable de proposer aux citadins trop isolés un environnement hors du commun favorable à la rencontre et à la convivialité ?

Le maintien de l’intégrité de la salle du Casino avec l’ensemble de la salle, sa cage de scène, son balcon et son décor est donc le fondement de notre parti architectural.

Ainsi les fonctions du programme se répartissent de façon harmonieuse et logique :
• l’accueil dans le hall d’entrée, ancien bar/foyer
• La salle polyvalente dans la salle de cinéma avec la salle de réception dans une « boîte » sous le balcon, s’ouvrant à la demande largement vers la salle et/ou vers l’accueil.
• La salle de rencontres au premier étage, côté rue, encadrée de deux espaces formant foyer quand le balcon de la salle est occupé, ou isolées par des cloisons coulissantes pour des activités diverses ou location.
• Les salles d’activité au deuxième étage.

Maître d'ouvrage : Mairie de Saint-Quentin
Localisation : 46 rue du Général Leclerc // 02100 Saint-Quentin
Destination : Création d'une salle polyvalente
Surface : 1500 m² utile
Montant des travaux : 2 600 000 € HT
Mission : Concours
Equipe : Opus 5 architectes

PALAISEAU // Conservatoire à Rayonnement Intercommunal de Palaiseau

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Conservatoire à Rayonnement Intercommunal de Palaiseau

Situé sur l’avenue Stalingrad, voie de transit importante à travers Palaiseau, le site de l’ancienne école Jules Ferry accueille le nouveau conservatoire au cœur d’un tissu urbain fractionné, avec une urbanisation hétérogène et de nombreux délaissés dans un secteur dépourvu d’espaces publics et d’image urbaine
Le point fort du site est sans conteste son espace extérieur arboré.
Le conservatoire est donc conçu autour d’un espace public végétalisé de qualité en prolongement de la rue, aire de repos pour tous les citadins et point focal et paysage harmonieux et immuable pour les usagers du conservatoire. La mise en place d’un jardin et la préservation d’un espace libre privilégié est un atout précieux pour l’avenir. Il introduit aussi la poésie dans ce lieu dédié à la pratique musicale éveille la sensibilité et favorise la sérénité.

L’interruption front bâti sur l’avenue de Stalingrad laisse place à une perspective cadrée autour d’une place publique. Un parvis minéral horizontal en prolongement du cheminement urbain fait la liaison entre le conservatoire et la rue. Un jardin en pente douce transperce le parvis, et crée une enclave verte à contempler ou à s’approprier pour s’y attarder ou le traverser pour rejoindre la rue en contre-bas
D’une grande simplicité la construction s’exprime sur le parvis par un unique bandeau en lévitation qui forme un cadre pour les espaces extérieurs. Clos pour préserver l’intimité et la concentration le bâtiment se décolle pour protéger le visiteur du soleil ou de la pluie, le laisser apercevoir son contenu et l’engager à pénétrer.



Maître d'ouvrage : Paris Saclay
Localisation : Avenue de Stalingrad, 91120 Palaiseau
Destination : Extension - Réhabilitation du conservatoire à rayonnement intercommunal de Palaiseau.
Surface : 2657 m² utile
Montant des travaux : 8 000 336 € HT
Mission : Concours
Equipe : Opus 5 architectes mandataire// Batiserf // Icegem // Impédance // Tesson // Luc Perrier

LE MONITEUR // n°6018 // Une école de musique qui casse des briques


LE POINT // n°2430 // Lego musical à Elancout

TELERAMA // n°3612 // Le bâtiment qui case des briques

CHRONIQUES ARCHITECTURE // 05.03.2019 // Opus 5 musical place de la Foi à Elancourt

FLOORNATURE // 01.04.2019 // Opus 5 Architectes Elancourt Music School

DESIGNBOOM // 25.03.2019 // Opus 5 architectes renovates brick élancourt music school in france

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